Josselin : l’ISEP (Paris)
Parcours : lycée Corneille (Rouen), PTSI/PT au lycée Schuman, admis à l’ISEP en 2009.
J’ai eu la chance de passer ma terminale au lycée Pierre Corneille de Rouen. Cependant, j’étais dans une classe de grande taille, ce qui n’a pas toujours été facile pour moi. Arrivé en milieu d’année scolaire, je devais faire mes choix pour mes études post-bac. Un ami m’a conseillé la CPGE du lycée Robert Schuman alors qu’il suivait lui-même cette formation. Il m’a parlé de l’internat qui était vraiment agréable et pratique pour travailler, ainsi que de la qualité de l’enseignement. La chance de pouvoir travailler en effectif restreint nous permettait d’avoir un contact privilégié avec les professeurs et cela m’a permis d’être très sérieux et de me concentrer davantage.
Maxime : INP Génie Industriel (Grenoble)
Parcours : lycée François 1er (Le Havre), PTSI/PT au lycée Schuman, admis à l’INP Génie Industriel en 2010.
N’ayant pas été pas un brillant élève en terminale, j’hésitais entre intégrer un IUT ou une école d’ingénieur post-bac. Puis j’ai entendu parler de la prépa Schuman, de ses résultats et de sa bonne ambiance avec un effectif assez faible comparé aux autres classes prépa. Et maintenant je me rends compte qu’un tel effectif est vraiment une chance pour chacun des élèves déterminés à avoir une bonne école : des DM hebdomadaires, des DS rendus et corrigés rapidement, des questions ouvertes à la fin des cours et par mail pendant les vacances, des TD encadrés, une volonté des professeurs à vouloir nous faire travailler le TIPE. Je reste maintenant persuadé que si j’ai réussi à intégrer fièrement l’INP Génie Industriel de Grenoble, c’est notamment grâce à l’enseignement que j’ai acquis pendant ces années de prépa.
Maxime : Arts et Métiers
Parcours : lycée Jean Prévost (Montivilliers), PTSI/PT au lycée Schuman, admis à l’école des Arts et Métiers en 2010.
Lycéen au lycée Jean Prévost à Montivilliers, je souhaitais m’orienter vers une école d’ingénieurs (l’INSA en l’occurrence) ou vers une classe préparatoire. N’ayant pas été admis à l’INSA, j’ai choisi la classe préparatoire PTSI/PT du lycée Robert Schuman pour différentes raisons. C’est tout d’abord une prépa qui forme moitié moins d’étudiant que les autres (une vingtaine), ce qui permet un meilleur suivi de chacun et qui permet aux professeurs de s’adapter au niveau de chacun. C’est ensuite la seule prépa proposant un internat sur Le Havre. Enfin, je ne voulais pas me retrouver dans une prépa avec une mauvaise ambiance due à l’esprit de compétition pour les concours. Après y avoir été admis, y avoir étudié pendant 2 ans puis être admis aux Arts et Métiers (qui est pour moi une bien meilleure école que l’INSA), je ne regrette aucunement ce choix de parcours car j’y ai retrouvé tous les éléments pour lesquels j’avais postulé. L’équipe de professeurs du lycée Robert Schuman, jeune, disponible et dynamique, a su efficacement nous préparer aux concours en s’adaptant à chacun, dans des conditions plus agréables que dans des promotions de 40 élèves. Le rythme y est bien sûr soutenu, comme dans chaque prépa, les difficultés de chaque étudiant étant suivis de près par les khôlles et nombreux "devoirs maison" ; le but n’étant pas de piéger les élèves mais plutôt de les aider, comme l’a montré la disponibilité de tous les professeurs pour répondre à chacune de nos questions, ou bien pour venir discuter d’une éventuelle baisse de travail ou de motivation. Toutes ces caractéristiques font que les résultats de cette prépa sont satisfaisants. Chaque étudiant est admis dans au moins une école ; ce qui prouve l’efficacité de la formation. Je conseillerais donc à n’importe quel lycéen désirant faire une classe préparatoire de s’inscrire à Robert Schuman, quel que soit son niveau.
Sélim : ENSISA (Mulhouse)
Parcours : lycée Schuman, PTSI/PT au lycée Schuman, admis à l’ENSISA en 2010.
Ayant fait mon cycle lycéen au lycée Robert Schuman avec un niveau moyen, je me suis lancé comme défi d’intégrer la classe préparatoire proposée dans ce lycée afin d’assurer mon avenir. L’enseignement dispensé et la charge de travail imposée en prépa change radicalement, du fait que le rythme est intensif et soutenu. Cependant, les différents professeurs, ainsi que nos camarades, sont régulièrement d’une grande aide : le fait d’être en petit groupe permet un suivi individuel de chaque élève, ce qui n’est absolument pas le cas dans la plupart des classes préparatoires. De plus, en PT, la diversité des matières enseignées nous permettent d’être polyvalents lors de notre entrée en école, et la présence d’heures de travaux pratiques, avec du matériel de qualité, nous permet de mieux comprendre la théorie. Grâce aux enseignements reçus à Schuman, j’ai intégré l’école de mon choix, dans laquelle je me sens à l’aise, fier d’appliquer ce qui m’a été appris durant ces deux dernières années.
Jérôme : Mines de Nancy
Parcours : lycée Schuman, PTSI/PT au lycée Schuman, admis à l’école des Mines de Nancy en 2010.
Ayant effectué toute ma scolarité depuis la seconde dans ce lycée, la classe préparatoire aux Grandes Ecoles du lycée Robert Schuman s’est imposée comme la suite logique de mes études. D’autant plus qu’un travail de publicité est effectué par les professeurs de prépa pour faire connaître cette classe à l’intérieur du lycée. Pourtant élève moyen en terminale, la taille de promotion, qui implique un bon suivi des élèves par les professeurs, la proximité de cette classe ainsi que ses bons résultats au concours des Arts et Métiers PARISTECH, m’ont poussé à l’intégrer sans tenir compte des a priori sur la charge de travail dans ce type de classe. La charge de travail fut effectivement conséquente, mais une évaluation hebdomadaire ainsi que les khôlles et les interrogations de cours organisées par l’équipe enseignante rendit plus digérable la masse quotidienne de travail à effectuer. C’est grâce à un suivi personnalisé et adapté (devoirs maisons à plusieurs niveaux de difficulté, rendez-vous élèves professeurs, suivi particulier du TIPE) que je suis maintenant élève au sein de l’École Nationale Supérieure des Mines de Nancy. Malgré un enseignement plus abstrait en école, les bases de travail acquises dans cette CPGE m’ont permis de rattraper mon retard théorique par rapport aux élèves de MP* et PSI* qui peuplent en majeure partie les couloirs de l’école des Mines. De plus, l’enseignement de Sciences Industrielles pour l’Ingénieur reçu pendant ces deux années me permet d’avoir un meilleur recul et une meilleure vision des applications (absolument nécessaire en école d’ingénieur) que les élèves d’autres sections. C’est donc sans regret que je repense à mes 3 années de lycée et mes 2 années de classe préparatoire passées au lycée Robert Schuman.
Antoine : Arts et Métiers
Parcours : lycée Pierre de Coubertin, Bolbec, PTSI/PT au lycée Schuman, admis à l’école des Arts et Métiers en 2010.
J’ai toujours apprécié les enseignements techniques, la technologie, la mécanique etc. Au lycée P. de Coubertin, à Bolbec, les sciences de l’ingénieur m’ont beaucoup plu, c’est pourquoi j’ai voulu que mon métier futur soit ingénieur. Étant deuxième de ma classe en terminale j’ai eu suffisamment de confiance en moi pour m’orienter vers une CPGE (qui ne m’a été que peu conseillée par mes professeurs qui avaient l’habitude d’envoyer leurs élèves en DUT). Après quelques recherches, j’ai découvert la filière de CPGE PTSI-PT ainsi que l’existence d’une telle classe au lycée Robert Schuman du Havre. Pendant mes deux années de prépa au lycée, je me suis très bien entendu avec la grande majorité de la classe, la promo formait un groupe soudé prêt à l’entraide, au travail en groupe et aussi à la rigolade. Du coté de l’équipe pédagogique, les professeurs étaient très dévoués à leurs classe et à leurs élèves, ils nous connaissaient tous très bien et étaient toujours prêts à nous aider. En mai 2010 nous avons passé les concours, mon objectif était d’intégrer l’école des arts et métiers, j’ai été classé 114ème sur 1143, ce dont j’ai été très fier. Ce classement est, je pense, le reflet de mon travail personnel, de ma motivation, mais tout le travail que j’ai fourni durant deux ans en prépa a été motivé par le groupe soudé que nous formions, toutes les choses que j’ai comprises en prépa viennent des explications des professeurs, de l’entraide au moment de réviser les concours, ils viennent du petit comité formé de l’équipe pédagogique et de la classe qui grâce aux petits effectifs formait un univers de confiance et de solidarité propice au travail et à la réussite. Aujourd’hui je suis élève aux Arts et Métiers de Lille et j’y côtois des élèves qui sortent de grande prépas parisiennes (Lycée Jean Baptiste Say, Lycée Jules Ferry, Lycée Chaptal) et après avoir discuté de nos expériences diverses je m’aperçois de la chance que j’ai eu d’aller au lycée Schuman, certes le stress inhérent à tout concours ou examen était présent mais les professeurs ne nous mettaient pas de pression supplémentaire. Comparés à mes nouveaux camarades, je peux me dire que je me suis épanoui en prépa : il me reste quelques excellents souvenirs de prépas, des amis que j’espère revoir le plus souvent possible et au niveau de mon intégration, je suis arrivé où je voulais et si la prépa était à refaire, je n’hésiterai pas une seule seconde. Il n’y a aucun doute que cette impression positive a été forgée par la "petite" classe prépa de Schuman et par l’ambiance que j’ai décrite plus haut.